Textes sans frontières

emojie en illustration de l'événement Textes sans frontières

Saison 16.17

11e édition | Pologne

Le 27 novembre 2016

Infos pratiques :

Séances

  • dimanche 27 novembre à 11h

 

Planning de la journée au Barnum (entrée libre sur réservation : 03.82.82.14.92)

 

> 11h

Lamentations de Krzysztof Bizio

Traduit du polonais par Agnieszka Kumor avec la collaboration de Laurent Muhleisen

Mis en voix par Stéphane G. Roussel

Dans l'intimité d'un monologue, trois femmes racontent un épisode de leur vie. Jacqueline, 44 ans, fille de Sophie et mère d'Anna, vient d'être licenciée. Son mari ne l'écoute plus. Sur le conseil d'un médecin, Jacqueline prend un chat qui l'aidera à tromper l'ennui et la dépression naissante. La vie est longue et trop mal faite se dit Anna, 18 ans, petit-fille de Sophie, fille de Jacqueline. Sophie, 67 ans, mère de Jacqueline, grand-mère d'Anna a trouvé le tuyau pour gagner au loto. Elle annonce son secret à son défunt mari.

> 12h

Brunch (12€) et concert du groupe traditionnel Krokus

> 13h30

Antigone à New York de Janusz Glowacki

Traduit du polonais par Urszula Mikos et Olivier Cohen

Mis en voix par Jean Poirson

Dans ce parc New-Yorkais, c’est un peu le bal des paumés, la saga des exclus. Ils viennent de Russie, de Pologne ou de Porto-Rico. Ces sans-abris rêvent de repartir au pays, car New-York, cité puissante, ne veut pas d’eux.Anita, seule femme de cet univers masculin marginal, souhaite enterrer dignement celui qu’elle aime et monnaye l’appui de deux compagnons d’infortune.

suivi de :

Vive le feu ! (On s’entend bien) de Dorota Masłowska

Traduit du polonais par Isabelle Jannès-Kalinowski

Mis en voix par Carole Lorang

Trois personnages féminins : la « vieille prostrée en fauteuil roulant », sa fille Halina et la «petite fille métal». Trois générations : celle d’avant la guerre, celle qui est née dans l’enclos du communisme et celle d’après la chute du Mur. Toutes les trois habitent une même petite pièce mais vivent dans des réalités séparées, penchées sur leur propre gouffre : nostalgie pour la grand-mère, envie consumériste pour la mère et attente pour la petite fille.

> 15h30

Café gourmand (5€)

> 16h

Notre classe de Tadeusz Słobodzianek

Traduit du polonais par Cécile Bocianowski

Mis en voix par Cyril Cotinaut

La vie de dix camarades de classe, juifs et catholiques, des bancs de l’école à nos jours. Ils grandissent et entrent dans la vie adulte ensemble, devenant les acteurs et témoins des événements traumatisants de l’histoire européenne du xxe siècle.

Notre Classe s’inspire de faits historiques, despogroms, et notamment celui du village polonais de Jedwabne qui a vu ses habitants juifs massacrés par leurs voisins en 1941. Comment la religion ou l’idéologie deviennent-elles plus importantes que l’amitié ?

Distribution et production

mises en voix de textes de la Pologne en une journée, avec dégustation